Les disciplines scientifiques peuvent aussi rendre compte de l’incidence néfaste du patriarcat. Ces articles établissent des relations directes entre la parenté et le fonctionnement hormonal, les transformations génétiques et le complexe d’Oedipe.
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Le complexe d’Oedipe montre que la relation conflictuelle entre le père et l’enfant mâle, d’après les travaux de Sigmund Freud, n’est pas un phénomène universel, mais bien propre aux sociétés patriarcales.
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La couvade présente cette maladie mentale des hommes qui veulent être mère. Depuis la prise de pouvoir par les premiers dieux-pères, Zeus et Ethana, les hommes ont toujours voulu s’accaparer la maternité des femmes, le pouvoir exclusif des déesses-mères à donner la vie.
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La dégénérescence génétique au sein du système patriarcal expose les relations entre parenté et transformation génétique et montre que le matriarcat permet un eugénisme naturel alors que le patriarcat est un terrain favorable à la dégénérescence génétique.
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Dieu est une femme : le mythe du spermatozoïde vainqueur de la course à la fécondation de l’ovule : Les spermatozoïdes se livrent à un parcours du combattant à l’issue duquel il n’en restera qu’un : C’est l’ovule qui choisit le spermatozoïde qui contient le patrimoine génétique le plus différent du sien.
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L’hormone du bonheur, contre le couple, et pour la fusion mère-enfant : de l’absurdité féministe de la présence du père à l’accouchement. Cet article montre que la femme produit de l’ocytocine (hormone de l’attachement), qui s’oppose au couple à long terme, et favorise le lien fusionnel maternel.
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L’hymen : un mythe patriarcal expose le culte de la virginité tout particulier au patriarcat qui consiste à dépuceler une vierge comme s’il s’agissait de lever les scéllés. On y découvre que, biologiquement, la présence de l’hymen n’est pas une garantie de virginité. Toutes les femmes n’ont pas un hymen identique.
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Inceste fantasmé (théorie de la séduction) : L’imposture de Freud pour cacher les vices de la bourgeoisie patriarcale. Le père de la psychanalyse invente une théorie pour masquer l’inceste quasi institutionnelle de sa communauté, et ainsi culpabiliser les victimes alors discréditées.
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Les mystères du sang féminin : symbole de vie et de mort, pouvoir suprême, et menace pour le patriarcat. Dans les cultures matriarcales, le pouvoir de fertilité des femmes est considéré comme sacré, car elles sont les représentantes de la Déesse Mère. Le sang menstruel fut utilisé comme fertilisant pour la terre, et le cycle menstruel est vu comme créateur de vie.
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Parthénogenèse : quand le règne du vivant femelle se passait des mâles : La parthénogenèse, du grec parthénos qui signifie vierge, est un phénomène qui traduit la reproduction à partir d’un ovule non fécondé. Alors que la parthénogenèse naturelle s’observe chez les abeilles qui produisent de faux bourdons, la parthénogenèse artificielle a été provoquée chez les lapins.
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Patriarcat et stérilité / Matriarcat et fertilité : l’abolition du couple pour remède : La monogamie affaiblirait la libido que ce soit de la femme ou de l’homme (stress, conflits, monotonie…). Avoir plusieurs partenaires sexuels serait un remède contre l’infertilité et plaiderait pour une abolition du couple.
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Le plaisir du corps et l’origine de la violence : Des études scientifiques à l’échelle mondiale, et parmi tous les peuples du monde, prouve qu’un enfant qui n’a pas manqué d’affection charnelle durant sa petite enfance ne peut pas devenir violent.
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La présence contre-nature du père à l’accouchement – par le Dr Michel Odent. Cette nouvelle pratique instituée par le féminisme au nom de l’égalité, provoque de nombreuses complications.
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Psychanalyse de l’intégriste patricien : castration et frustration sexuelle, terreau de tous les fanatismes. Refoulement des désirs, péché d’orgasme, diabolisation de la femme tentatrice, virilité par procuration… Tous ces symptômes cachent la quête inconsciente du retour au ventre maternel, et la peur de ne pas être le père…
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Du sang « sage » à la sagesse : malédiction et passage initiatique de la ménopause : Le sang féminin est diabolisé par le patriarcat. Pouvoir suprême des femmes, symbole de vie et de mort, et du matrilignage, c’est une menace pour « l’ordre des pères ». La femme qui saigne est donc impure et bannie de la société.
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