Frontières et ciment culturel : équilibre naturel entre identité et métissage.
Identité et métissage sont des phénomènes naturels qui se régulent naturellement, dès lors qu’un peuple décide de ses frontières, de ses flux démographiques, et de son ciment culturel national. Culture et frontières sont les seuls paramètres réellement contrôlables pour forger une ethnie.
Identité ethno-génétique
Les 2 piliers de l’identité ethnique d’un peuple sont :
- un ciment culturel commun (ce qui rapproche psychiquement),
- et des frontières démographiques régulantes (ce qui rapproche physiquement).
Dans des frontières données, et sous un ciment culturel commun, une population ethniquement hétérogène aura toujours tendance à s’homogénéiser au fil des générations. L’identité ethnique est donc l’homogénéité génétique relative d’une population : certains gênes sont plus fréquents que d’autres.
Ethno-globalisme
Le métissage absolu, par l’abolition des frontières démographiques et le multiculturalisme, dilue complètement l’identité ethnique des peuples.
Consanguinité : le métissage zéro, c’est le clonage
Lors de la fécondation, l’ovule est programmé pour sélectionner le spermatozoïde le plus génétiquement différent, afin d’éviter au maximum la consanguinité (on ne sait pas qui copule là-haut). Lorsqu’une population génétique devient trop homogène, par un isolement géographique trop stricte, des maladies génétiques de consanguinité apparaissent. Un apport génétique extérieur, régulier mais ponctuel, est nécessaire pour la santé génétique d’une population.
Dynamique naturelle de l’équilibre :
Ethno-globalisme et consanguinité ne sont ni souhaitables, ni viables à long terme. Le métissage tend toujours vers une homogénéisation, et un groupe ethno-génétique homogène est toujours sujet à des apports génétiques extérieurs.
Inutile de faire de la discrimination positive ou négative du métissage. On ne peut surveiller la sexualité d’une population. Préserver culture nationale et frontières suffisent pour conserver la santé génétique d’un peuple.
La stabilité perpétuelle est une utopie mortifère :
Depuis toujours, les groupes ethniques – comme toutes choses dans l’univers – naissent, évoluent, se croisent et meurent, selon une dynamique harmonieuse et naturelle, de création et destruction perpétuelles, d’identités nouvelles toujours uniques.